it’s important to
listen to music outside of experimental music or sound art… (Steve Roden)
L'Un.
Steve RODEN : "The Radio" (Sonoris. 1999)
it’s important to
listen to music outside of experimental music or sound art… (Steve Roden)
L'Un.
Steve RODEN : "The Radio" (Sonoris. 1999)
"The single most important key to sex that I've yet discovered is conscious rhythmic breathing; the more you breathe the more you feel and the more you come alive. Many of us breathe only enough to survive but not to live fully. Deep breathing is a door to waking up to healing and to more personal freedom" (Annie Sprinkle).
Si on peut émettre quelques
réserves amusées sur l’efficacité avérée des effets psycho-stimulant de ces
concept-albums un peu rigides, l’expérience qui reste cérébrale et immersive,
peut aussi se vivre au rythme d’une respiration profonde, les yeux fermés sur soi.
L'Un.
The HAFLER TRIO "Masturbatorium" / "Fuck" (Touch. 1991/92)
" La colonne d'air est le volume d'air, premièrement emmagasiné dans les poumons, deuxièmement mis en pression à l'aide du diaphragme […] et des muscles de la sangle abdominale […], troisièmement géré par les lèvres ou la langue […], enfin poussé (en débit et vitesse) dans un instrument de musique à vent créant ainsi des vibrations. Ces vibrations ont à une ou plusieurs fréquence en relation avec la note entendue, et correspondent à un régime de résonance. Il est fondamental de conserver pendant plusieurs secondes la colonne d'air et de moduler les débits et vitesses afin de créer des sons harmonieux, justes et précis". – wikipedia
« - oh you’re a musician, what do you play? -I play saxophone. - I love the saxophone ! - Well, I bet I could change your mind!” (Jim SAUTER)
L'Un.
Jim SAUTER & Don DIETRICH : "Bells Together" ( AgaricRecords. 1985)
L’Un.
Fred FRITH « Step Across the Border (Fred Record. 1990)
« Scorn gives me scorn » ( L.M).
Cette impression tenace de tenir quelque chose de trop poisseux entre mes doigts le jour où je l’ai acheté. Quelques écoutes plus loin et pas encore prêt à affronter cette coulée de lave au ralenti, de le ramener vite fait au disquaire du coin (un peu comme avec le premier Eyehategod…). Pour le racheter une fois la stupeur et la confusion initiales balayées… Cet été là, Vae Solis est devenu le compagnon, idéal sur ma platine pour se coltiner 3 ou 4 bouquins de ce vieux réac’ d’Ellroy…
L'Un.
SCORN Vae Solis (Earache. 1992)